Pour la première année, l’Afocg a collecté les résultats économiques de 140 exploitations bio des adhérents de l’Afocg Vendée-Maine et Loire et de la Loire Atlantique afin de réaliser un référentiel statistique.
Mois : août 2015
LES RÉSULTATS DE GESTION 2014 : Baisse générale des revenus
Tous les ans, l’Afocg publie les statistiques des résultats annuels de ses adhérents en Maine et Loire et Vendée.
Ce document est en accès libre dans son intégralité sur le site internet de l’AFoCG (www.afocg.fr), à la rubrique « Statistiques ».
Ce document permet de mieux comprendre la conjoncture économique et climatique en 2014. Quel a été l’impact sur les systèmes de production ? Quelles ont été les grandes tendances de cette année 2014 ?
PCAE 2015-2020 : Plan pour la compétitivité et l’adaptation des exploitations agricoles en Pays de la Loire
Le Plan de Compétitivité et d’Adaptation des Exploitations agricoles des Pays de la Loire 2015-2020 vise à répondre aux enjeux de modernisation des productions agricoles d’élevage (bovin, ovin, caprin, porcin, équin, avicole, cunicole) et végétales (grandes cultures, prairies, maraîchage, horticulture, arboriculture, cidriculture, plantes à parfum, aromatiques et médicinales, viticulture, semences, tabac, champignons). Il remplace les anciens PMBE, PVE et PPE …
Les nouveautés du parcours à l’installation aidée
Suite aux assises nationales de linstallation et à la mise en œuvre de la loi d’avenir agricole, le cadre de l’installation aidée a été renové. La mise en oeuvre de cette politique est confiée à l’échelon régional depuis janvier 2015, au sein d’un cadre réglementaire national.
Les objectifs de cette politique d’installation et de transmission sont entre autres de contribuer au renouvellement des générations en agriculture, favoriser les créations, et transmissions d’entreprises agricoles dans un cadre familial et hors-cadre familial et encourager les formes d’installation progressive.
Il y a certaines nouveautés mais une bonne partie de l’existant a été conservé.
LE GAEC : POUR UN TRAVAIL EN COMMUN EN TOUTE TRANSPARENCE
Exploiter une structure agricole à plusieurs, séparer son patrimoine professionnel de son patrimoine personnel, transmettre ou reprendre progressivement son exploitation,… sont des raisons qui amènent à créer une société. Sans que ce soit son unique but, la mise en société permet aussi parfois d’optimiser les prélèvements fiscaux et sociaux. Pour s’y retrouver et mieux percevoir leurs avantages et inconvénients, nous proposons un petit tour d’horizon des principales sociétés rencontrées dans le domaine agricole, en commençant par le GAEC.
QUELQUES IDÉES REÇUES À L’ÉPREUVE DES CHIFFRES !
Suite à notre assemblée générale du 5 février 2015, nous avons souhaité reprendre quelques propos de Lucien BOURGEOIS développés en partie lors de son intervention, mais aussi dans ses écrits. Une aide pour prendre de la distance!
Les Français sont les champions du monde du pessimisme. Quand cela se cumule avec la prudence traditionnelle du bon sens paysan, on comprend que les agriculteurs ne soient pas les moins pessimistes parmi leurs concitoyens. Comment expliquer pareil jugement sur l’état du monde ? S’agit-il vraiment de faits incontestables ou d’idées reçues sans vraiment de fondements. Nous verrons à travers quelques exemples que les arguments font plus souvent partie de convictions idéologiques que de l’observation minutieuse de la réalité.
POUR ANTICIPER LA CESSION DE MON EXPLOITATION, QUELLES QUESTIONS DOIS-JE ME POSER ?
La transmission d’une exploitation agricole va au-delà d’une transaction économique, financière et de modifications juridiques : c’est un passage de relais.
Celui qui part s’est investi 20, 30 ou 40 ans dans cette exploitation, il l’a développée à son image, il s’y identifie. Il en a même parfois hérité. Il laisse un bien de famille, un lieu de vie, l’œuvre de sa vie …
Ce passage de relais doit s’appréhender comme un projet qui demande du temps, de la réflexion et qui doit être, par conséquent, ANTICIPE. Chaque transmission, cession d’une exploitation est unique. Il n’y a pas de modèle pré-établi « tout fait ». Aussi, pour vous accompagner et vous aider à prendre vos décisions, l’Afocg a identifié 5 étapes clés et de nombreuses questions sur lesquelles chacun doit s’attarder.
Indice des fermages : +1.61%
Le nouvel indice national des fermages s’établit à 110,05, variant de + 1,61 % sur un an.
Pour actualiser le montant du fermage perçus entre le 1er octobre 2015 et le 30 septembre 2016, il faut donc majorer de 1,61 % le montant du fermage annuel payé en 2014.
Exemple : soit un montant de fermage 2014 de 1.000 €, le montant réactualisé est donc de 1000 x 1,61 % = 1016,10 € ou 1000 x 1,0161 (101,61 : 100).1717